mercredi, 31 août 2005
Tout va bien : le chômage baisse
25.000 chômeurs de moins, c'est 25.000 emplois de plus ? Ben non, c'est ça le drame.
mercredi, 31 août 2005
25.000 chômeurs de moins, c'est 25.000 emplois de plus ? Ben non, c'est ça le drame.
lundi, 29 août 2005
Continuons l'interview de notre homme politique fictif...
samedi, 27 août 2005
Surtout lorsqu'on souhaite communiquer fermement un principe éducatif auquel on tient.
vendredi, 26 août 2005
Ou : le beurre et l'argent du beurre appliqué au développement durable.
jeudi, 25 août 2005
Clémence et Coumba, deux filles étonnantes !
samedi, 20 août 2005
Idée saugrenue que j'ai eue dans l'après-midi : monter de toute pièce une fausse interview d'un homme politique fictif. Voyons ce que ça donne.
Pour ceux qui n'ont pas le temps de tout lire, je donne la réponse : à personne.
mercredi, 17 août 2005
J'ai été touchée ces derniers temps par certaines chansons de Francis Cabrel. Habituellement je ne suis pas une fan inconditionnelle car je trouve l'ambiance de ses albums un peu trop tristounette mais là il faut reconnaître qu'il m'a surprise.
Tout d'abord son interprétation lors d'un plateau TV alors qu'il chantait « Bonne nouvelle » :
La vie me donne ce que j'attends d'elle.
Il chantait avec une telle conviction qu'il faisait plaisir à regarder. Soit il avait regardé la Star Ac où l'on prône l'interprétation et l'explosion des sentiments, soit il pensait vraiment ce qu'il chantait. Dans les deux cas, il était très convaincant.
Tout ça pour dire que même avec les mots les plus simples on peut exprimer les plus belles émotions. La poésie c'est simple :
Nos pas dans les mêmes empreintes,
Nos couverts sur la même table,
Nos impers derrière la même porte,
Ça peut paraître sommaire ou banal, l'ordinaire parcours.
Et si c'était au contraire, au final, de l'amour.
Je trouve ce constat très gai car finalement la solution est dans la simplicité, pas dans l'exceptionnel, et donc à la portée de tous...
mercredi, 10 août 2005
Et oui ça nous arrive à nous aussi , pourtant on s'était tous promis intérieurement d'être plus malin que nos aïeux et de ne pas se laisser avoir par l'emprise du temps, mais on n'y échappe pas.
Je ne parle pas encore des rides mais bien de la conséquence des années sur nous c'est-à-dire de l'expérience et de la prise de conscience que celles-ci provoquent.
A 20 ans, on est dans la phase construction de notre vie, on essaie d'obtenir des diplômes pour s'assurer une belle vie. Tous les espoirs sont permis, on espère tout mener de front avec succès.
On sait d'ailleurs très bien élever les enfants que l'on n'a pas. On est d'ailleurs capable de discerter très longuement sur le sujet avec une détermination impressionnante.On se dit que nous, on a des valeurs sûres et qu'avec elles on ne va pas perdre de vue l'objectif de notre vie. En bref et sans le dire on se croit plus malin que les autres.
A 30 ans et avec le recul on se dit que cet état d'esprit s'apparentait plus à de la naïveté qu'à un esprit de supériorité. Donc on s'est trompé mais l'erreur est humaine.
Je ne vais pas dire que la trentaine est faite de déceptions mais c'est un retour sur terre. Déjà on se rend compte que tout mener de front ce ne sera pas possible.Il faudra choisir au moins à un moment donné entre sa carrière et l'éducation de ses enfants. Il faut bien reconnaître que pour une femme même si elle reste dans le monde du travail, le moment où les enfants sont petits correspond au mieux à une stagnation de la carrière, sinon à un stand by.
Il n'y a rien de négatif dans mes propos mais c'est juste une constatation. Comme on dit « on ne peut pas être au four et au moulin ! ». Bref, on ne va pas tout mener de front et même sur chaque front le succès n'est assuré. Dans sa vie professionnelle, il est difficile de réussir et dans sa vie familliale, c'est encore plus dur. On se rend compte alors que le premier enfant a à peine quelques jours que finalement ce n'est pas si facile que ça. Quand l'enfant grandit on arrive même à se dire qu'on aimerait déjà bien arriver au résultat que l'on critiquait quelques années avant.
Le gros coup d'assomoir est l'entrée en maternelle du premier enfant , car là, notre petit se trouve, et nous avec, en confrontation avec d'autres enfants et donc forcément d'autres modes éducatifs qui, il faut le dire, se trouvent sur pas mal de points meilleurs que le nôtre . Alors là, grosse remise en question ! Est-on incompétents à transmettre nos valeurs ? Non, je crois juste que c'est très dur et qu'être parents s'apprend. Pour le deuxième, on se fait déjà moins avoir et de toute façon on place la barre moins haut.
Pour conclure , on fait juste de notre mieux ...et ça ira quand même.
jeudi, 4 août 2005
Un petit article de vacances, sans plus d'inspiration que ça.