On refait le blog - Réduire la dépense publique, favoriser la croissance - Commentaires2023-09-07T06:44:27+02:00Merome.neturn:md5:7c8a50b4481dc1924fb7cb3244c918b1DotclearRéduire la dépense publique, favoriser la croissance - Paul Itiqueurn:md5:ea5aba343cf34747f097bfdc0728114a2011-08-12T08:55:47+02:002011-08-12T07:55:47+02:00Paul Itique<p>@ serge halimi</p>
<p>mouais, le coup de la dette providentielle fomentée par un ancien acteur d'holywood, j'y crois très moyennement, ça pue la bonne vieille lutte des classes à plein nez....</p>
<p>Faut pas oublier que c'est surtout l'effondrement de l'empire soviétique qui a fait gagner les idées libérales. C'est d'ailleurs une des raisons qui explique que toutes les gauches du monde (y compris la Chine) ce soit mises au diapason de cette idéologie. Faut pas oublier que le traité de maastricht a été négocié par un bon nombre de personnes de gauche, on ne peut pas les soupçonner d'avoir voulu jouer pour la droite...c'est juste que idéologiquement et électoralement les hommes politiques se sont rendus à l'évidence commune.</p>
<p>Ultimement, le problème c'est qu'on s'est trompé sur le sens de l'histoire, les gains de productivité ne viennent pas de l'ingénieur ni du travailleur et encore moins de l'homme politique, ils viennent de la machine animée par les énergies fossiles !! Enlevez le pétrole et on ne parle plus de libéralisme ni de communisme.</p>Réduire la dépense publique, favoriser la croissance - Vince Squareurn:md5:4419ede32839af00e1d628ee366539112011-08-07T23:17:10+02:002011-08-07T22:17:10+02:00Vince Square<p>@ Jeff : excellente conclusion, il ne faut pas oublier que ce sont les banquiers qui ont volé aux états (ou les y ont contraints) la possibilité de créer leur monnaie. (lire à ce sujet l'excellent ouvrage " les secrets de la réserve fédérale). Ce serait donc un juste retour des choses que de tout remettre à plat, mais qui soulève un autre problème : quels politiques vont ils franchir le rubicond sachant qu'ils sont placés là par les pouvoirs financiers ? En d'autres termes comment mordre la main qui nourrit ? Celà pose le problème de la représentativité des peuples en politique, et remet en cause le système électoral. On ne sortira de l'impasse qu'en reprenant les deux pouvoirs, celui de la réelle démocratie et de la création monétaire. Mais ça, c'est un programme révolutionnaire...</p>Réduire la dépense publique, favoriser la croissance - Jeff Renaulturn:md5:a8e9b06b6923004a400bb73e8f546bc92011-08-05T17:29:18+02:002011-08-05T16:29:18+02:00Jeff Renault<p>Il semble en effet que notre salut soit dans la croissance, alors même que cette croissance produit des dégâts considérables sur la planète et met en péril notre avenir (et surtout celui des générations suivantes).</p>
<p>Comment peut-on encore et toujours persister dans cette logique alors que d'évidence elle joue contre l'intérêt de l'humanité ? Parce que certains (un tout petit nombre) y ont intérêt, et qu'ils ont perdu tout sens de la réflexion à long terme, leur horizon étant le court-terme.</p>
<p>Oui, le court-termisme est désespérant. On prend des décision aujourd'hui sans en mesurer l'impact dans le futur. Après nous, le fin du monde ! C'est probable...</p>
<p>Une chose concernant la dette. On (les états) a de la dette, qu'on n'arrive pas à rembourser aux créanciers (les banques). Ils acceptent de nous financer la dette (en nous prêtant de l'argent, donc en augmentant notre dette envers eux) sous condition de diminuer les dépenses (surtout pas prélever d'impôts). Question : comment arrive-t-on à rembourser la dette en augmentant la dette ? Chez un ménage, ça s'appelle le surendettement, non ?</p>
<p>Et si on disait aux banquiers : On (les états) ne va pas vous rembourser la dette ; on solde les comptes ; et on reprend le pouvoir de création monétaire ; et on se finance par l'impôt. So what ?</p>